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Voici un article complet sur la science des nombres

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science des nombres

 

Une Science Sacrée…

Question à Pastor:

Pouvez-vous nous parler de la science des nombres?

C’est une science sacrée.Comment les nombres peuvent-ils diffuser une énergie, ou être potentiellement porteur d’une énergie ?

Le nombre n’est pas une onde de forme comme cela se présente pour le pentacle. Le nombre est une combinaison de chiffres, et c’est le chiffre qui compte. Le chiffre en lui-même ne représente rien. Il représente subtilement un principe.

Quand il y a combinaison de principes, il y a combinaison des énergies, et c’est pour cela que les nombres sont capables d’une action, sont capables d’exorcisme comme d’envoûtement.

C’est pourquoi aussi ils restent toujours autant déterminants dans l’accomplissement des grandes architectures. Qui veut bien bâtir, ne peut pas bâtir autrement que par la science des nombres.

Le nombre est né du chiffre, le chiffre étant lui-même dépositaire d’une connaissance que l’on pourrait nommer Kabbalistique.

La connaissance de la Kabbale représente les secrets dévoilés sur toute la structure cosmique.

nombres répétitifs

Voilà pourquoi il est bon d’utiliser cette science et pourquoi elle fonctionne. Mais entrer en détail dans le pouvoir de chaque chiffre me demanderait véritablement trop de temps. Des écrits ont paru, la connaissance a déjà été donnée à ce propos.

Lorsque vous voulez acheter un livre concernant cette science, ce que je vous conseille ce n’est pas d’acheter un titre, mais un auteur.

Dans la préface, regardez à quels renseignements cet auteur se réfère. S’il se réfère à des connaissances du passé, cela est bon.

Je vous le répète, la science est la science, qu’elle vienne du passé ou qu’elle soit du présent, c’est la religion qui doit changer.

Donc, si l’individu semble se référer à des textes anciens, à des connaissances anciennes, alors achetez ce livre. Si c’est le petit intelligent du coin qui essaie de faire, en quelque sorte, sa combine, n’achetez pas.

À l’heure actuelle, il y a beaucoup trop de livres dans ce sens, d’où le besoin pour vous d’exercer sans cesse votre discernement.

Avec l’extériorisation de la hiérarchie, l’extériorisation des énergies qui viennent et qui amènent les hommes à exprimer ce qui était caché, tout un chacun peut finalement prendre un mystère, écrire un livre, faire une conférence, s’installer comme prêtre, s’installer comme Maître et diffuser son enseignement, créer sa structure, vendre son produit.

C’est le risque. De la même manière, avec l’énergie, l’individu peut faire de la magie noire ou de la magie blanche.

Tout est donné maintenant, mais l’individu, s’il a un fond quelque peu spéculateur ou profiteur, va essayer d’exploiter ce domaine. Et puis, il y a ceux qui agissent, non pas avec l’idée du profit, mais avec un manque d’intelligence. C’est-à-dire que s’intéressant au sujet, ayant fait des études, voulant en fait être un porte-parole, mais n’ayant pas suffisamment de connaissances, il se croit capable de s’exprimer.

C’est à vous d’avoir le discernement nécessaire. Sur la terre, à l’heure actuelle, il y a de nombreux gourous. Êtes-vous allés chez tous les gourous ? Non.

Vous essayez de savoir quel est le meilleur et le plus juste. Dans la littérature, dans la connaissance par les livres, c’est pareil, essayez toujours de voir ce qui est juste. Ne vous lancez pas dans la lecture de n’importe quoi parce que le titre est bon. Il faut savoir si le contenu est bon.

La Kabbale est la science des nombres

L’auteur du Tarot est l’ange METRATON ; il est le chef de la sagesse du serpent et c’était lui le prophète Enoch dont nous parle la Bible.

L’ange Métraton ou Enoch nous a laissé, gravé dans la pierre, le Tarot, qui renferme toute la sagesse divine.

Il nous a également laissé les 22 lettres de l’alphabet hébraïque. Ce grand Maître vit dans les mondes supérieurs, dans le monde d’Aziluth, un monde plein d’un bonheur inconcevable, qui selon la Kabbale se trouve dans la région de Kéther, une séphiroth assez élevée.

Tous les kabbalistes se basent sur le Tarot ; il est nécessaire de le connaître et de l’étudier à fond. L’univers fut conçu à travers la Loi du nombre, de la mesure et du poids ; les mathématiques forment l’univers, et les nombres sont par conséquent des entités vivantes.

Celui qui pénètre dans CHESED, monde de l’esprit pur et ineffable, peut vérifier dans cette région que tout se réduit à des nombres ; c’est une région terriblement réelle.

Dans notre monde, nous ne voyons pas les choses telles qu’elles sont, nous ne voyons que l’image des choses. Dans Chesed, on sait de combien d’atomes est faite une table, combien de karma doit payer le monde, combien de molécules vivent dans chaque corps ; il s’agit d’un monde de mathématiques, d’un monde réaliste.

On s’imagine que dans ce monde, on serait coupé de la réalité du monde, alors qu’au contraire, là on vit dans la Réalité.

Dans un temple, on sait le nombre de gens qui se sont auto-réalisés et le nombre de ceux qui ne le sont pas. Si on entre dans une cuisine, on sait quelle quantité d’atomes composent les aliments qu’on va manger. C’est un monde terriblement réaliste. Dans le monde de Chesed, on en vient à savoir qui est un homme véritable.

Les théosophes parlent de plans et de sous-plans : ce sont les DIX SEPHIROTHS.

DIX ÉMANATIONS DE LA MÈRE-ESPACE ÉTERNELLE, DIX GRANDES VAGUES QUI SERVENT DE FONDEMENT À LA GRANDE MÈRE.

Les sept planètes du système solaire sont les sept séphiroths, et le Tri-un Soleil spirituel est la couronne séphirotique.

Ces séphiroths vivent et palpitent à l’intérieur de notre conscience, et nous devons apprendre à les manipuler et à les combiner dans le laboratoire merveilleux de notre univers intérieur.

C’est grâce aux séphiroths que l’on peut se transformer en homme ; il y a également les séphiras, de la même manière qu’existent les ions Positifs et les ions Négatifs.

NOUS DEVONS RÉALISER CES DIX SEPHIROTHS CAR ELLES SONT ICI PARMI NOUS, ICI ET MAINTENANT.

Ces dix séphiroths, une fois réalisées chez un individu, le convertissent en un être auto-réalisé. Elles ressemblent alors à des pierres précieuses incrustées, c’est merveilleux à voir.

La couronne séphirotique est formée de Kéther, Chokmah et Binah. Il faut comprendre le fondement de ces trois séphiroths :

KÉTHER : Il est l’Ancien des jours, l’occulte de l’occulte, la bonté des bontés ; sa chevelure a trente-et-une boucles et sa barbe treize mèches. Le 13 symbolise le Verbe, la parole. On a dit des merveilles à son sujet ; on peut s’entretenir avec lui à travers le Samadhi (extase) afin de recevoir ses ordres. Il est miséricorde infinie, sagesse intégrale.

CHOKMAH : Il est le Christos, il est amour. Il veille afin que le disciple travaille un jour dans la Neuvième Sphère, et il le prépare avec un amour infini. L’Instructeur du monde est Amour. Il est Mashiah’.

BINAH : Il est l’Esprit Saint, le pouvoir igné, qui prend la forme d’une colombe blanche.

Citation de Joseph de Maistre:

« L’existence du nombre dans l’univers prouverait à elle seule celle de l’intelligence suprême, car « l’intelligence ne se prouve à l’intelligence que par le nombre », par l’ordre qui « n’est que le nombre ordonné », et par la symétrie qui « n’est que l’ordre aperçu et comparé ». Dieu nous a donné le nombre pour nous séparer de l’animalité dans l’ordre immatériel, comme l’usage du feu nous en sépare dans l’ordre physique; « et c’est par le nombre qu’il se prouve à nous, comme c’est par le nombre que l’homme se prouve à son semblable ».
Sans nombre il n’y a ni science, ni art, ni parole. Grâce à lui « le cri devient chant, le bruit reçoit le rythme, le saut est danse, la force s’appelle dynamique et les traces sont des figures ». « Tous les êtres sont des lettres dont la réunion forme un discours qui prouve Dieu… » »

Pythagore et la science des nombres

Je vois souvent des chiffres répétitifs sur des plaques minéralogiques (555 – 7777), ou souvent les heures doubles comme 10h10, 11h11 ou 14h14… quel en est le sens ?

Pythagore, mathématicien grec et philosophe de renom dont nous avons tous déjà entendu parler, fut bien plus que l’auteur du fameux théorème relatif aux triangles rectangles…

Il est difficile de trouver des ouvrages relatant la vie menée par Pythagore ainsi que toutes les recherches et travaux effectués par cet homme. Cependant, malgré cette faible quantité d’écrits existants à son sujet, de nombreuses personnes, ont pu tout de même étudier ses quelques œuvres qui ont permises de mieux mesurer l’étendue de ses savoirs.

Commençons donc par le début, la naissance de Pythagore. Avant son arrivée au monde, ses parents avaient consulté la Pythie de Delphes qui leur avait prédit « un fils qui serait utile à tous les Hommes, dans tous les temps ». D’ailleurs, le nom de Pythagore signifie « prédit par la Pythie».

Fils du riche marchand de bagues de Samos (Grèce) et de Parthénis, il grandit paisiblement au sein de sa famille et de son pays qui s’apprête à vivre les plus belles heures de son histoire. A l’âge de 20 ans, il part étudier en Egypte l’astronomie, la géométrie, et tous les savoirs des peuples égyptiens qu’on regroupe sous le terme de « science de Dieu », et ce durant 22 ans. Puis, suite à l’invasion de l’Egypte par un certain Cambyse, Pythagore fut conduit à Babylone où il continua d’étudier les sciences kaldéennes (la kaldée correspondant à cette région babylonienne) pendant 12 ans.

A l’issue de ces 34 années d’études et de recherches personnelles sur le fonctionnement et l’origine du monde et de l’Homme lui-même, il se rend à Crotone en Italie pour fonder sa première école où il enseignera sa doctrine. Nait alors le premier institut pythagoricien avec l’édification du temple des Muses qui lui servira de lieu d’enseignement.

Ce qui différencie Pythagore des autres philosophes et initiés de son temps fut sa volonté de vouloir transmettre son savoir à tous les peuples, qu’elle que soit leur niveau et leur capacité de compréhension. Il adaptait alors son discours en choisissant un certain vocabulaire et une certaine rhétorique en fonction des individus à qui il enseignait la sagesse et le fonctionnement de notre Univers (le kosmos comme il le nomme). Pythagore était un réformateur, il voulait démystifier les connaissances ancestrales qui demeuraient scellées dans les temples des initiés de l’époque. Il prônait l’accès à un plus large public de ces connaissances universelles, et souhaitait en conséquence que l’Etat fonctionnât selon un certain ordre et une certaine harmonie. Il voulait en réalité relier initiation et politique.
Au cours de son existence, Pythagore aura compris et découvert de nombreux concepts. Déjà persuadé que la terre est sphérique et qu’elle gravite autour d’un feu central avec plusieurs autres planètes, il nomme le ciel et ses étoiles Kosmos, ce qui signifie l’ordre . La Terre, le ciel et l’humanité forment alors trois mondes, le naturel, le divin et l’humain. C’est ce qu’il nomme la Triade, une inter-relation ternaire immuable et transcendantale.
Le sage est celui ou celle qui trouve l’accord et la loi de l’équilibre de ces trois mondes. Pythagore et ses confrères les pythagoriciens ont posé les bases, les premières règles des mathématiques. On leur doit de ce fait les tables de multiplication, les critères de divisibilité, la propriété relative à la somme des angles d’un triangle (qui vaut 180 degrés), les nombres premiers et leur application dans les sciences mathématiques, ainsi que les propriétés des nombres pairs et impairs, pour ne citer que ces plus grandes découvertes. Il inventera alors le mot mathématique, qui signifie celui qui veut apprendre les sciences.

Mais sa plus grande découverte, fruit de nombreuses années d’études et d’observations, était relative à la science de l’harmonie, si on peut la nommer ainsi. Il se rend compte que les nombres régissent l’harmonie du monde, aussi bien au niveau microscopique que macroscopique. Cette « science des nombres » comme il l’appelle va notamment lui permettre d’établir la gamme musicale en découvrant les lois de l’harmonique. Ainsi naquit la science musicale que tous les grands musiciens de notre ère ont utilisée pour composer sérénades et autres sonnets à l’accord parfait. Bien que la musique n’ait pas entendu l’arrivée de Pythagore pour exister, il n’en demeure pas moins que ce dernier fut le premier, en Occident, à découvrir les relations mathématiques qui régissent la science musicale. Tout est nombre selon Pythagore, et la musique en sera sa toute première démonstration.

Il définira alors les 7 notes de notre gamme musicale actuelle, la notion d’octave, de quinte et de quarte. L’histoire raconte qu’il se serait attardé auprès d’un forgeron faisant battre ses marteaux sur son enclume et que le son produit par certains de ces marteaux joué simultanément retentissait de façon harmonieuse à ses oreilles. En étudiant de plus près la cause de cette harmonie, il aboutit à certains rapports mathématiques qui lui permirent d’écrire une gamme musicale. Et d’ailleurs, le mot musique vient de muse, terme synonyme d’harmonie et d’équilibre.

Pythagore fut bien plus que l’auteur du théorème relatif aux triangles rectangles, il permit une avancé géante aux sciences, il posa les bases inébranlables de la science mathématique et rendit à la Grèce une puissance culturelle, éducative et politique qu’elle avait perdue, et a donc permis une élévation des consciences de tous, initiés ou simples gens, vers une connaissance universelle de l’Homme et de son Univers. – Lou Magaud

Bibliographie : Les grands initiés, esquisse de l’histoire secrète des religions , Edouard Schuré, Librairie Académique Perrin Editeur, 1946.

Grigori Petrovich Grabovoï: La conscience crée notre univers

Créer avec les séries de chiffres

Etre conscient ne signifie pas voir distinctement une réalité extérieure.

La réalité est contenue dans la conscience, ce qui signifie qu’elle en est le produit. Nous pouvons donc modifier le réel à notre gré.

Les russes parlent du pilotage de la réalité et donc des événements qui la constituent.

Par des modèles mathématiques et informatiques ainsi que par des méthodes dument appliquées dans la matière physique, Grigori grabovoï démontre et enseigne comment créer toute matière parfaite par la conscience de l’Âme, créer des nouvelles machines à énergies libres, changer instantanément le cours de tous événements négatifs, guérir toutes les maladies, régénérer tous les organes.

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Publié par Clément Artois

Clément a toujours été très empathique et possède de grandes capacités d'écoute, lorsque les gens ont besoin de conseils dans leurs relations, c'est toujours vers lui qu'ils se tournent.

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