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Jacques Salomé – Être un bon compagnon pour soi même

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J’ai mis longtemps à comprendre cette évidence que la personne avec laquelle je passais l’essentiel de ma vie était… moi-même

J. Salomé dans Vivre avec soi- Chaque jour…la vie.

Si en effet je suis la personne avec qui je vais passer le plus de temps, autant être un bon compagnon pour moi-même. Mais ai-je appris :

  • A m’écouter avec bienveillance et dans le non jugement

Si en effet je suis la personne avec qui je vais passer le plus de temps, autant être un bon compagnon pour moi-même. Mais ai-je appris :

  • A m’écouter avec bienveillance et dans le non jugement
  • A me féliciter, à m’encourager
  • A parler de moi
  • A prendre soin de mes besoins et de mes désirs
  • A entendre mes peurs
  • A dire non pour me respecter et rester fidèle à moi-même
  • A entendre mes maux comme des langages
  • A entendre ce qui est touché en moi et qui me fait aller dans le réactionnel
  • A achever mes situations inachevées
  • A soigner mes blessures anciennes

Etre un bon compagnon pour soi, apprendre à s’aimer n’est pas facile pour la plupart d’entre nous. La plupart des messages relationnels reçus dans notre enfance ont le plus souvent blessé notre image, inhibé la confiance en nous-mêmes et en nos ressources.

Etre un bon compagnon pour soi, c’est apprendre à retrouver un amour de bienveillance, de respect qui est à la base de l’estime de soi pour nourrir une relation vivante avec soi-même et avec les autres. Parce que je suis au cœur de mes relations, il est possible en me responsabilisant de prendre soin de la relation à moi-même. Nous avons à nous construire, à nous positionner, à nous définir avec les autres mais aussi à nous confronter avec eux.

Pour cela, il va nous falloir apprendre à nous responsabiliser en n’entretenant ni victimisation, ni dépendance envers les autres ; apprendre à me positionner, à faire des demandes claires, à être à l’écoute de nos ressentis, à prendre soin de mes besoins.

L’objectif du travail en atelier est de pouvoir :

  • Apprendre à communiquer avec soi pour enfin oser être soi-même
  • Apprendre à se définir vis à vis de soi et de l’autre
  • Travailler sur ses situations inachevées
  • Travailler sur les violences reçues qui bloquent trop d’énergie
  • Apprendre à nourrir la relation pour en faire un lien dynamisant

La Méthode ESPERE® apporte des repères, des balises afin d’y voir plus clair dans nos relations. Si la prise de conscience est nécessaire et indispensable à toute démarche pour avancer sur notre chemin personnel, elle n’est pas suffisante pour changer les choses. C’est par un travail personnel que nous pourrons apprendre à prendre soin de nous même et changer notre regard sur notre passé, changer notre regard sur autrui. Les thèmes abordés au cours des ateliers sur cette relation de couple sont :

  • Reconnaître nos besoins et en prendre soin
  • Sortir des manques
  • Entendre nos peurs pour accéder aux désirs
  • Se responsabiliser dans ce que nous ressentons et éprouvons
  • Oser dire non en fidélité à soi même
  • S’aimer dans la bienveillance et le respect de soi
  • Soigner nos blessures anciennes
  • achever nos situations inachevées
  • Avoir le courage d’être soi

La pire des solitudes, ce n’est pas d’être seul, c’est de s’ennuyer en sa propre compagnie. La pire des solitudes, c’est d’être un mauvais compagnon pour soi

J. Salomé

Dans toute rencontre, dans tout partage, nous offrons à l’autre ce que nous sommes. Or beaucoup d’entre nous ont des exigences redoutables à l’égard d’eux-même, des conduites de mépris, des attitudes de rejet, des doutes, des dévalorisations, des conduites d’autoprivation. – La pire des solitudes est de s’ennuyer en sa propre compagnie. –

La pire des pauvretés n’est pas dans ce qui manque mais dans l’ignorance de tout ce que nous avons. Dans cette conférence Jacques Salomé montre quelques chemins possibles pour accepter de mieux s’écouter, de reconnaître plus vite les sentiments réels qui nous habitent au lieu de produire ce qu’il nomme des sentiments écrans qui nous coupent de nous même et de l’autre. Il nous invite à mieux entendre les multiples langages qui circulent en nous, à mieux relationner avec soi-même, à mieux s’aimer et être un meilleur compagnon pour soi.

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Publié par Jacques Salomé

Un commentaire

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  1. Merci; j’ai aimé ces deux phrases:

    La pire des solitudes, ce n’est pas d’être seul, c’est de s’ennuyer en sa propre compagnie.;

     La pire des pauvretés n’est pas dans ce qui manque mais dans l’ignorance de tout ce que nous avons.;

    Et pourtant, je tiens à mentionner que , d’après moi, nous avons tous des compagnons qui peuvent être des mauvais compagnons si nous ne sommes point capables d’en prendre soin: je nomme:
    L’Ambition
    L’ignorance
    Le Fanatisme

    Nous les avons tous dans les différentes touches de gris… Hi Hi…

    Et le défi est de composer avec soi ; en portant attention à Soi; prenant la respondabilité de soi en Soi…
    Roland ♀

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