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DOIS-JE ABANDONNER LE COMBAT

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ABANDONNER LE COMBAT

En ce moment, je vis des trucs un peu bizarres…

Un jour je me sens au top, motivée à fond les ballons et le lendemain tout retombe comme un soufflé, sans comprendre pourquoi.

Est-ce la peur, le manque de foi en mes projets, l’impression de vivre entre deux mondes ?

Est-ce ce temps chaotique qui plombe le ciel depuis plusieurs mois ?

Je me sens comme tiraillée, confrontée une fois de plus à mes ombres comme une éternelle rengaine qui ne parvient pas à trouver son point d’équilibre.

Des idées créatives me viennent plein la tête, mais c’est comme si la motivation parfois avait peine à se frayer un chemin dans mon cœur, comme si toujours un vent lourd qui me tire en arrière m’empêchait d’atteindre ma propre réalisation.
C’est très étrange à vivre au quotidien, déstabilisant, inquiétant aussi.

Il y a des choses que je sais devoir mettre en place pour retrouver mon bien-être, fusionner avec celle que je suis réellement mais une force contraire met toujours un frein à mon évolution.

Qu’est-ce qui en moi a peur d’avancer, de se confronter à mes petits démons ?

Ce va et vient, ces incertitudes régulières qui reviennent me hanter sont épuisantes, pourraient presque parfois me donner envie de tout lâcher, de tout abandonner, me refermer dans ma coquille puis attendre que la fin s’annonce…

Mais non.

Une petite voix me dit de m’accrocher, de ne pas écouter les lamentations de mon cœur d’humaine blessé par toutes ces épreuves, ces ralentissements, ces peurs qui, trop souvent, ont jalonné ma route. Car c’est le dernier virage avant le renouveau. Ce sont les derniers mètres à parcourir qui sont les plus difficiles parce qu’ils sont gonflés de tous nos efforts, nos attentes, nos espoirs fragiles qui n’en voient pas le bout.

Sans doute êtes-vous confrontés à ce même genre de situation. Perdus, dans l’incapacité à tourner une page, à mettre en place une toute nouvelle histoire dans votre vie qui va vous porter vers le Meilleur.

Quoi vous dire ?

Dire au revoir à sa mère

Exprimez vos doutes, vos peurs, vos déceptions, cet abandon de votre foi et de votre courage, laissez-les prendre la porte de sortie sans chercher à les retenir de quelque façon. Ils doivent se libérer, se dissoudre, ils doivent être dits et reconnus.

Nous ne savons pas de quoi demain sera fait. Mais une chose est sûre : il prendra la couleur de nos visions, de nos intentions, du chant de notre cœur parce qu’en nous existe le Pouvoir de choisir, de tout transformer en quelque chose de bon, de beau, d’authentique.

Dites-vous que vous faites de votre mieux. Essayez d’être tendre avec vous-même, ne vous en demandez pas trop non plus. Reconnaissez l’imperfection du chemin que vous avez accepté de parcourir. Parce que vous saviez, au bout du compte, que le meilleur en résulterait. Votre Âme ne fait jamais des choix qui ne servent pas la plus haute part de votre Être, des choix qui n’ont aucune chance d’aboutir. Elle sait ce dont vous êtes capables. Elle sait qu’en vous réside une grandeur insoupçonnée. Si vous ne croyez pas en vous, elle y croit de toute la force de son Amour. Faites-lui honneur…

Vous avez, tout comme moi, choisi d’être là en ces temps de tumultes, de profonds bouleversements parce qu’un espoir subsistait pour ce monde, parce que des possibilités infinies se profilaient dans son horizon. Il est normal d’en douter. Après tout, ce monde nous semble bien réel en tant qu’humain, nous le vivons dans notre corps, notre cœur et notre tête, nous en sentons l’impact jusque dans nos cellules…
Pourtant, nous sommes bien plus que cela… Des êtres doués d’une force immense, capables de tout faire basculer à chaque instant.

Alors voici le message que je serais tentée de vous donner :

Que choisissez-vous de nourrir, quel loup, quelle vision, quelle certitude ? Pensez-vous réellement vous être trompés en vous incarnant dans cette existence, qu’il serait préférable d’en rester là, d’abandonner votre combat ?

Pourquoi être arrivé si loin et tout laisser choir comme une expérience sans valeur qui ne vous laisse comme empreinte que des souvenirs douloureux ?

Je me suis posée cette question de nombreuses fois, sachez-le. Tant de fois je me suis dit « A quoi bon ? ».

Lorsque j’y songe, j’entends mon Âme pleurer.

Elle pleure parce qu’elle sait qui je suis vraiment, parce qu’elle a cru en moi depuis le début, m’a soutenue, inspirée, aimée. Elle connaît ma valeur, mes richesses, tous les trésors que je dissimule au fond de moi secrètement. Elle comprend ma souffrance mais s’attriste devant mon incapacité à percer le voile qui me sépare de ma vérité originelle, triste de me voir baisser les bras quand elle sait que j’ai affronté tant d’obstacles, que je suis toujours là et que ma beauté et mes trésors brillent plus que jamais !
Vais-je choisir de marcher main dans la main avec elle ou ignorer les cadeaux précieux qu’elle me tend au bout de ses doigts ?

Mon choix est clair. Et votre Âme, votre petite sœur de lumière vous dit exactement la même chose :

« N’abandonne pas le combat ! »

Nathalie Fargin
https://imageetguidance.com/

Retrouvez les Chroniques de Nathalie Fargin sur la Presse Galactique

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Publié par Julie Latour

J'aime la spiritualité mais je suis surtout spécialisée en numérologie depuis bientôt 10 ans. Tout comme le célèbre philosophe, mathématicien et astrologue Pythagore, je pense que toutes les choses peuvent être exprimées par un nombre.Ne sous-estimons pas le pouvoir des nombres, ils peuvent révéler des informations essentielles sur notre avenir .

7 Commentaires

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  1. Bonjour Clémentine tu merci pour cette réflexion …. je suis en plein doute actuellement . …un projet de reconversion ….et je me dis que non que tout l’optimisme que j’ai mis dedans ne peut pas se volatilisé comme ça …. et pourtant je traîne mes angoisses mon renfermement …. et oui mon âme à d’autres desseins pour moi….je ne lâcherai pas cette fois. …merci et belle journée. ..Nathalie

  2. Merci pour ce message… on dirait que c’est moi qui l’a écrit sans m’en souvenir… incroyable à quel point je me reconnais dans vos mots !

  3. Oui je crois m’être trompé de destination en venant ici…J’ai nourri l’optimisme malgré les épreuves interminables…J’ai toujours combattu, donné mon énergie, le meilleur de moi-même. Mais avec le temps on s’épuise, on y perd des plumes et la limite est atteinte. Donc c’est ce qui explique l’instabilité ressenti, le corps exténué, vidé ne peu plus suivre le coeur, l’âme…Oui, l’âme pleure, mais je sais que j’ai dépassé mes limites et pour la première fois de ma vie je me dit ; À quoi bon…je connais la chanson!

  4. Je suis un Punk. Un peu spirituel, mais Punk quand même.
    Je suis encore plutôt jeune (30 ans), mais j’ai eu une vie, je pense, particulièrement dense et riche en expérience.
    Entre 15 et 25 ans environ, j’ai mené une vie à 100 à l’heure, une vie de routard autour du monde, de zonard, essayé pleins de métiers, experimenté toutes les drogues, bref, c’était « rock’n’roll ». Mon refrain : sortir de la zone de confort, tout le temps, n’avoir peur de rien, jamais.
    J’étais pétri d’idéaux, farouchement rebelle et révolté, (tout en nourrissant généreusement mon égo, je m’en rend compte maintenant). Je voulais VOIR le monde, de mes propres yeux, sans filtre, sans me voiler la face.
    Vers 25 ans, j’ai arrêté de bourlinguer. Je considérai que j’en avais assez vu pour le moment, j’étais épuisé, physiquement, mentalement, je ressentais le besoin de faire une pause pour « digérer » tout cela, le rythme était devenu effréné sur la fin, tout s’enchaînait trop vite.
    J’avais tout de même bien mené ma barque et me retrouvait avec un pécule raisonnable, pour un gars qui n’en avait pas travaillé la moitié. J’adoptais une vie complètement marginale, qui me mettait à l’abri de l’esclavage moderne du système. Pas de pression, tout le temps pour revivre, relier, intégrer toute cette expérience accumulée. Mon objectif était clairement de gagner en sagesse, mon égo voulait être enfin reconnu comme légitime, pouvoir influencer, propager l’utopie. L’âme/l’univers n’avait pas l’air mécontent, il m’avait régulièrement envoyé des épreuves, j’avais joué le jeu, je savais que ça faisait partie du package, je découvrais comment suivre mon intuition, et en retour, l’univers ne me mettait pas de bâtons dans les roues, et me donnait quelques coups de pouces. Maintenant, avec le recul, je dirais que la formulation honnête serait plutôt : « j’ai eu le cul bordé de nouilles pendant 10 ans », et ce, malgré des prises de risques réels, et des  » coups de poker » très tres audacieux..une chance de cocu que, faute de référentiel à cette époque, je considérais presque naturelle.
    Bon, bien entendu, à 25 ans, mes possession terrestres se limitaient à mon sac de voyage, mon vehicule, une vieille caravane et quelques bricoles. Pas de diplomes, pas de « réseau » de contacts. Mais peu m’importait, je savais (et ça se confirmait à mesure que je racontais mes aventures) que j’avais engrangé une quantité énorme de compétences en tout genre que peu de gens de mon âge pouvaient se targuer, et même certains plus vieux. Surtout, j’avait affronté mes peurs une à une, avec courage et détermination, j’avais surmonté des situations incroyables. J’en ai retiré une assurance, une confiance en moi à me tirer de toute situation, qui contrastait nettement avec l’attitude de victime, de souffre-douleur et d’exclu qui a accompagné ma scolarité. C’est sans aucun doute le bien le plus précieux que j’ai retiré de cette période.
    Je me rendais compte que « spirituellement », j’avais bien dégrossi le chantier, en particulier si je comparais avec les  » sédentaires » de mon âge. Mais j’avais négligé toute la partie sentimentale/rapport aux femmes, et j’avais bien pris conscience qu’il s’agissait là d’un gros morceau. Et l’égo, en revanche, s’était bien engraissé au passage, mais ça je ne savait pas encore.. Alors, hein ! Mon cher Égo, qui avait tout de même été d’une assistance précieuse, a pris la main et décrété que, peu importe ce qu’il restait à faire, on verra ça plus tard, j’étais désormais invincible, et il comptait bien profiter de la periode de repos pour « réclamer » son dû : la gloire, la reconnaissance, et surtout, utiliser cette légitimité pour pouvoir enfin mettre le plan mûrement refléchi depuis mon adolescence : SAUVER LE MONDE (of course, c’est la faute des autres… Ces sales capitaliste, qui de toutes façon ne méritent que de se réincarner en caillou..). Car désormais, je peux professer à l’envie MES théories révolutionnaires pour résoudre tous les maux, car plus personne n’osera me couper la parole, et ils seront de toutes façon immédiatement convaincu par un gars si courageux qui nous rapporte des témoignages de première main de l’état déplorable de notre monde et de l’humanité ! Egotrip total, j’exagère un peu, mais certaines fins de soirées alcoolisées, c’était carrément ça.

    Hahaha, mais quelle naïveté…

    L’univers, évidemment, ne l’entendait pas de cette oreille. Et même s’il n’est qu’AMOUR, je le soupçonne parfois d’être adepte d’humour noir. En tout cas il ne m’a pas loupé. Et ça n’a pas été brutal, non non, ça s’est étalé sur deux ans environ.. Tellement doucement que je ne me suis aperçu de rien. Et pas tellement d’évènement extérieurs que l’égo aurait facilement accusé, ou de rencontre karmique.. Beaucoup plus malin, il a simplement retourné les armes de l’égo contre lui même (et l’arsenal était fourni).
    Petit à petit, à chaque nouvelle mouture d’une super théorie, l’égo, qui usait de logique rigoureuse, était obligé de reconnaître que, c’était quand même mal-barré. Pris à son propre piège, un jour, il a été forcé de déclarer publiquement que… Et bien en fait, non, la planète est belle et bien foutue, y a rien à faire, et quant à l’humanité, les tribus indigène n’ayant, objectivement rien à envier aux méchants occidentaux en terme de traditions barbares, cruauté, cupidité, devant l’étendue et la pénétration globale de la bêtise humaine, l’idée même de devoir la « sauver » devenait tout à coup beaucoup moins solide. (Bien entendu, je n’encourage aucun de mes lecteurs à adopter ce point de vue, pour le moins nihiliste, mais juste comprendre que, dans la situation où je me suis retrouvé à ce moment là, j’ai du impérativement intégrer cette croyance d’urgence, question de survie…)
    Évidemment, les egos de mon public à convertir européens n’appréciaient pas vraiment de se faire dicter de la sorte une nouvelle façon de vivre, et ça n’a pas arrangé le tableau.
    Enfin, le coup de grace, mon gout deja connu pour plupart des drogues dures, il a suffit de lacher un peu la bride pour que l’égo blessé et humilié s’y engouffre de bon coeur. Le corollaire de ceci étant bien entendu la dilapidation volontaire du petit pécule dont je disposais (oui, parce que, « à quoi bon », puisque tout est foutu) et isolement volontaire tournant presque à la sociophobie.
    Voilà, simple et efficace, l’égo impertinent au tapis, et quand bien même il se relèverait, tous les moyens materiels dont il aurait pu se servir pour nuire à nouveau sont désormais bien diminués.
    Intérieurement, ce fut un cataclysme.. Tout mon système de croyances, qui était bâti autour de l’idée qu’il y avait de l’espoir, s’est effondré, les valeurs pareil.. Tous les reves, objectifs, défis personnel idem, plus rien.. Et comme à ce moment là, je ne savais pas du tout comment ça marchait consciemment, je n’avais aucune idée de comment le reconstruire.

    Bref, en deux ans, je suis passé de jeune homme dynamique, débrouillard, idéaliste, peut-être un poil original et marginal, mais suffisamment avenant et joyeux pour qu’on écoute ses idées écolos

    À jeune paumé, drogué, aigri et défaitiste, négligé, qui vit seul dans une caravane au fond d’un bois, aucun but dans la vie, bref, le genre de cassos à qui il ne faut surtout pas faire confiance.
    Bref, vous pouvez imaginer l’état d’inquiétude de ma pauvre maman, que j’ai tenté de tenir à l’ecart du mieux que je pouvais.

    C’est à cette période très sombre que j’ai commencé à avoir des idées noires.
    Mais je précise, à aucun moment je n’ai ENVISAGÉ le suicide pour moi-même.
    En revaanche cette réflexion m’a amené à comprendre profondément comment on pouvait en arriver là.
    Et je dois avouer que cette compréhension a eu un impact assez large sur ma manière d’aborder certains sujets, en particulier la réincarnation et les mémoires karmiques.
    Mais je pense que ce qui ne m’a pas permis d’aller plus loin dans ce raisonnement, c’est toujours l’égo, qui, bien que salement amoché, ne voulais toujours pas s’avouer vaincu.

    (Voilà, c’est maintenant qu’on va enfin pouvoir faire le lien avec le sujet de l’article. Et c’est aussi à ce moment que je m’aperçois que mon texte est bien plus long que prévu.. Je vous prie de m’excuser, je me suis un peu enflammé. Mais comme en même temps je sens que ça me fait du bien, comme une mini-therapie, je vais continuer)

    Donc, mon égo du moment, coriace le ptit père, relève la tête, et de manière surprenante, choisi, pour se reconstruire, non pas de s’accrocher à l’idée de restaurer l’espoir en l’humanité, mais au contraire de nourrir une rancoeur très forte contre l’univers et ses « sales coups ».
    Ceci dit, je comprend la logique aujourd’hui, car en fait depuis le départ, il n’a eu que de nobles intention, et n’a peché que par excès de zèle, en voulant répondre à mes objectifs implantés depuis longtemps, et sur lesquels je n’avait ni conscience ni contrôle. Tout cela en étant lui même complètement ignoré puisque ce n’est que récemment que je l’ai identifié et reconnu.
    Et c’est en s’appuyant sur une valeur que je viens à peine de repérer, mais qui est tellement profondément ancré en moi, et qui serait donc restée intacte au moment de l’effondrement, qui est l’attachement viscéral à l’autonomie, qu’il a développé une opposion farouche aux plans divins, qui viennent empiéter sur cette autonomie/refus de l’autorité. Depuis cet événement, c’est la guerre larvée, et si vous connaissez comment l’univers s’y prend pour les « épreuves », vous savez bien que si on refuse le défi, ça reflue et ça revient, à chaque fois plus violemment jusqu’à ce que ça cède.. J’en ai pris plein la tronche, je pourrai en écrire des romans tellement certains épisodes ont été ubuesques.
    Ceci dit, j’ai récemment réussi à réconcilier tout le monde, mais avec l’égo, on a du passer par le déni, la colère, la victimite aiguë, la résignation, la négociation… Et enfin la coopération. Ouf

    Mais pour en revenir à l’article, je voulais principalement souligner que dans mon cas, ces résistances aux plans divins étaient des manifestations égotiques, et j’ai souvent eu, dans le repertoire des excusites, cet argument assez vicieux du  » à quoi bon », pas facile à contrer parce qu’il faudrai introduire une croyance suffisamment solide qui explique le « Pourquoi ? », pourquoi il faut absolument faire évoluer ces âmes constament, toujours et encore, traumatisme apres traumatisme, mémoire apres mémoire, sans jamais savoir si ça va s’arreter un jour, et que même si ça finit un jour par aboutir à quelque chose, on doit encore gérer la frustation de savoir qu’on ne pourra jamais vraiment profiter naïvement de notre bonne vieille réalité 3D sans se prendre le chou avec des histoires cosmiques, puisqu’on comprend bien qu’elle n’existe que pour servir d’arène pokémon géante pour fragments d’intelligence supérieure…
    Pour ça, la seule solution que j’ai trouvé pour le moment, c’est de se réconcilier avec l’égo, lui faire accepter l’idée que la coopération sera plus bénéfique, d’abord en lui pardonnant tous ses bévues passées, puis en apprenant à le nourrir correctement depuis l’intérieur quand il fait bien son job pour éviter qu’il cherche à se nourrir à l’exterieur (c’est la que ça dérape généralement). J’ai pris l’habitude de créer moi même les rituels dont j’ai besoin, ça me permet d’etre plus rock’n’roll, et j’oublie toujours d’acheter des bougies, donc je fais avec ce que j’ai sous la main (playmobil ça marche super), et au final je les trouve plus efficaces, parceque quand j’utilise les protocoles style new-age ça sonne toujours un peu faux, en tout cas pour moi. Et dans ce cas précis j’ai introduit une nouveauté qui est intéressante, c’est de se mettre d’accord, entre l’âme et l’égo, sur un signe discret qui permet à l’âme de prévenir l’égo, dans le feu de l’action, que la il en fait un peu trop. Mais j’ai pas encore assez de recul pour dire si c’est efficace.

    Voilà, et je reviens sur un dernier détail, qui est intéressant.
    Donc apres la catastrophe, je me suis retrouvé bien embêté parceque j’avais l’égo vexé qui boudait dans son coin (la zone de confort qu’il ne voulait plus quitter), le système de croyance diysfonctionnel où la seule croyance vraiment solide était que « la planete est condamnée, ya plus d’espoir » (en croyance bien limitante, peut pas trop faire mieux) et plus aucun reve ou objectif qui anime tout ça, tout seul dans ma caravane au milieu des bois, en plein hiver, vous imaginez le tableau ? Une coquille vide, aucun repere… Et heureusement, c’est un petit peu plus tard que j’ai découvert la PNL (merci maman), et surtout, comment on pouvais faire joujou avec les croyances. Jme suis pas lancé à tenter de déraciner la croyance que tout est foutu, c’était encore trop frais ou sensible, je sais pas, mais je l’ai pas fait. Sauf que j’arrivais pas à trouver comment accorder quoi que ce soit avec. Mais à force de réfléchir, j’ai trouvé un genre de hack original.
    Je l’ai fondé sur une métaphore que la vie (1 incarnation) est l’estran d’une plage de sable (l’espace entre marée haute et basse) et que on est dessus à faire des chateau de sable. Mais dès lors, qu’avec un brin de jugeote, on pige que la marée monte, et que donc, inexorablement, elle finira par recouvrir les chateaux de sable.. Et lorsqu’elle se découvrira à nouveau, il n’y aura plus qu’une plage absolument lisse, et que… ON NE PEUT RIEN Y FAIRE !
    Alors, on peut avoir deux types de réaction : abandonner les chateaux, se laisser tomber sur la plage en marmonant « pfff.. Ah quoi bon ? » avec un ton dépité.
    Ou sinon, on peut se retourner vers ses copains, avec les yeux qui brillent, et crier tout excité : « les gaaars ! La marée monte ! Allez on se dépeche, si on se débrouille bien, on le temps de faire le plus géant et plus beau des chateaux dla terre entière !! »

    J’ai choisi la deuxième option 🙂 et non seulement ça tient bien depuis, mais j’ai pu reconstruire un système de croyances complexe, cohérent et souple à la fois en m’améliorant dans le controle de celles-ci, ce qui me permet d’utiliser n’importmamanl outil de développement perso qui me semble intéressant, même proposé par le plus allumé des ufologue-theoriciens-du-complot-belge sans que ça mette un souk dans le reste de mes croyances. Avec un peu d’imagination j’arrive toujours à trouver une astuce pour que ça passe, et les croyance que l’on implante consciement sont toujours plus facile à retirer si besoin.
    Et on ne s’en rend pas compte, mais avancer dans la vie en sachant pertinemment que toute cette réalité va disparaître, mais être serein avec ça, et continuer à vivre en écolo exemplaire, pour la beauté du geste, comme un baroud d’honneur, ça rend vraiment la vie, comment dire, ça lui donne une saveur différente, avec plus de légèreté…

    Voilà, et aujourd’hui, je suis toujours sur cette planete qui va de plus en plus mal, j’ai repris le controle sur mes croyances, mes reves, mes pensées, je crois avoir rencontré ma flamme jumelle l’été dernier, en tout cas une rencontre très étrange où on sent qu’il y a une blague vaseuse de l’univers, mais peu importe ça m’a donné le pep’s de me pencher sur des nouveaux bloquages, (et c’est bien la première fois que je vois l’univers manier la carotte plutôt que le bâton, alors), je me suis réconcilié avec mon égo et l’univers, les épreuves ça fuse dans tous les sens, mais en mode coopération, ça se passe BIEN mieux que quand on résiste, je me découvre moi même à vitesse grand V, et aussi l’amour inconditionnel, même si des fois je trouve que ça manque un peu de rock’n’roll ces histoires, et je continue à jouer au lego avec mes croyances, et j’invente des rituels farfelus, et je m’ammuse comme un petit fou, et je crois que tout compte fait, c’est bien ça le plus important das l’histoire, parceque si on se fend pas la poire…. A QUOI BON ? N’est-ce-pas ?

    Voilà, je suis désolé pour la longueur du texte, c’est tout venu comme ça. J’espère que ça aidera quelqu’un qui passe par là et qui rencontre une situation similaire.. En tout cas moi ça m’a fait un bien fou !

    Keep on rockin’ ! Soulmates

  5. Bonjour Nathalie vous avez raison il ne faut pas abandonner,car moi aussi j’étais dans cette situation
    Sauf que moi j’ai abandonné et aujourd’hui je regrette,car j’ai malheureusement détruit le seul espoir qui était rester en moi.
    Donc n’abandonnez jamais même si c’est difficile,
    Sinon vous terminerez comme moi.
    Bonne journée à vous.

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