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Dans certaines situations, il peut être plus bénéfique de se distancer de sa famille pour assurer sa propre protection

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lignée familiale

Prendre la décision de se détacher de sa famille peut être une étape difficile et empreinte de douleur, mais dans certaines circonstances, cela peut être la meilleure décision à prendre pour une personne.

Effectivement, les attentes et les contraintes qui nous sont imposées nous enferment dans une existence que nous n’avons pas choisie. Cependant, il vaut parfois mieux être considéré comme le « vilain petit canard » plutôt que de jouer un rôle fictif dans ces familles qui se définissent par une perfection artificielle.


Nous sommes tous, d’une certaine manière, pris au piège d’un réseau invisible tissé par la lignée familiale, ainsi que des héritages qui en découlent et se transmettent de génération en génération. Cela crée une conscience invisible, une sorte d’héritage auquel nous devons nous soumettre sans jamais le remettre en question.

Cependant, à mesure que nous grandissons, quelque chose en nous s’éveille soudainement, car nous finissons par en avoir assez d’être pris en otage par ces regards curieux et ces attentes enracinées dans les liens familiaux.

«Aucun legs n’est aussi riche que celui de l’honnêteté.»

– William Shakespeare –

Chaque famille ressemble à un clan, une entité dynamique et extrêmement complexe, composée d’un héritage émotionnel, d’un passé, de croyances et de répressions, ainsi que de cette fameuse lignée à préserver et à transmettre.

Selon Viktor Frankl, un célèbre neurologue et psychiatre autrichien, dans son livre « The Doctor and the Soul », rien n’est pire que de souffrir sans témoin. C’est là que réside la valeur de la famille en tant que premier cercle de souvenirs et de transmission de cet héritage.

Cependant, si cette souffrance est teintée de rancœur, peut-on réellement considérer cet héritage comme bénéfique ? En effet, la méfiance prévaut généralement.

Nous vous invitons à poursuivre la lecture de cet article et à réfléchir avec nous à cette question.

Il est question ici de la lignée familiale inconsciente qui nous façonne chaque jour.

La lignée familiale englobe des schémas de pensée qui, progressivement, construisent une grande partie de notre monde émotionnel. Nous faisons référence à cette psychogénéalogie qui souvent entrave notre désir inné de croissance et de développement.


Des expressions telles que « je n’ai pas le droit de me tromper », « je dois contrôler mes émotions » ou encore « il faut se méfier des autres » définissent cette empreinte. Qu’on le souhaite ou non, les empreintes de chaque génération se gravent profondément en nous, laissant des traces indélébiles dans notre personnalité.

La psychologie cognitive est l’une des approches les plus efficaces pour comprendre cette structure complexe. Les croyances les plus significatives et déterminantes se forment pendant l’enfance à travers nos relations familiales. De plus, il existe un concept encore plus complexe ; des auteurs tels qu’Aaron Beck nous rappellent que certains de ces schémas comportent également une composante génétique.

famille d'âmes

Selon une étude publiée dans la revue « Nature Neuroscience », il a été constaté que notre ADN transmet des informations sur les expériences de stress et de peur, héritées de génération en génération. L’Hôpital Monte Sinaï a également abordé cet aspect, mettant en évidence l’impact de l’héritage épigénétique sur les gènes des enfants.

Cependant, il est important de se rappeler que la prédisposition génétique ne détermine pas notre personnalité. Comme son nom l’indique, elle nous prédispose simplement à certaines caractéristiques. Toutefois, si le poids des gènes s’accompagne de la continuité des ordres, des valeurs, des règles et des dictats, un cycle de renforcement mutuel peut s’établir.

Rompre avec la lignée familiale et tout ce qu’elle implique n’est pas une tâche facile.

Dans de nombreux pays et cultures, le poids de la famille conditionne et prédispose. Remettre cela en question est souvent considéré comme un sacrilège qui porte atteinte aux fondements mêmes de la société. En effet, comme l’a si bien dit Albert Einstein, « il est plus facile de désintégrer un atome qu’une prédisposition ».

La psychologie transgénérationnelle connaît actuellement une croissance importante. Il s’agit d’une approche thérapeutique qui consiste à explorer l’arbre généalogique afin de prévenir les schémas répétitifs du passé dans le présent. Cela permet à la personne de prendre conscience des dynamiques invisibles dont elle a pu hériter et qui entravent son développement et son bonheur.

Cependant, en plus de ces approches, il est également important de prendre conscience, dans notre vie quotidienne, de certains aspects qui peuvent nous aider à rompre avec cette lignée. Pour en savoir plus, continuez à lire cet article.

Voici quelques conseils qui peuvent vous aider à vous détacher de la lignée familiale.

Il est nécessaire de comprendre que cette lignée, c’est comme un contrat que l’on a pas signé. On peut le signer, et par conséquent assumer cette lignée et les ordres qu’elle implique si tant est qu’ils nous enrichissent personnellement et émotionnellement, mais on peut aussi tout simplement ne pas signer ce contrat et, du même coup, ne pas assumer cette lignée.

  • Un ordre, c’est une constellation de codes verbaux et non-verbaux que l’on doit savoir décoder :nous-mêmes intégrons de nombreux schémas de pensée qu’il n’est pas nécessaire de remettre en question. La révolution visant à mener à bien cette libération doit d’abord passer par nous-mêmes.

Plongez dans vos contrats intellectuels : des idées telles que «je suis bête» ou «je ne dois pas les décevoir» ne sont rien d’autre que les «idées irrationnelles» que nous a décrites Albert Ellis. Ce sont les racines des émotions dysfonctionnelles que l’on doit corriger.

Commencez à remettre en question ces phrases si communes que l’on entend dans de nombreuses familles : des expressions comme «cette personne n’est pas faite pour toi»«dans cette maison, nous sommes tou-te-s de tel parti politique, de telle religion, et nous supportons telle équipe sportive» ou encore «faire des études dans ce domaine-ci est une perte de temps, et dans celui-là, c’est une bêtise…» sont des codes qu’il nous vaut invalider, et que nous devons commencer à éloigner de notre esprit.

Etre une famille n’implique pas une loyauté dévouée, mais seulement des liens du sang : faire partie d’une famille ne nous impose pas un destin particulier. Nous avons le droit d’être nous-mêmes.

Parfois, défier et rompre les ordres familiaux du clan familial, cela va bien au-delà de l’obligation : c’est un besoin. C’est le droit et le devoir de réaffirmer notre propre intégrité personnelle afin que notre identité ne s’en voit pas compromise. Ainsi, on évite donc de devenir cette poupée articulée que d’autres créent de toutes pièces et sur laquelle ils essaient d’avoir le contrôle.

Voici quelques raisons pour lesquelles cela peut être le cas :

Abus ou négligence : Si une personne subit des abus ou de la négligence de la part de sa famille, rompre avec la lignée familiale peut être nécessaire pour sa sécurité et son bien-être. Les abus peuvent prendre de nombreuses formes, telles que la violence physique, le harcèlement émotionnel ou la manipulation.

Différences de valeurs : Si une personne a des différences fondamentales de valeurs avec sa famille, cela peut entraîner des conflits et un manque de soutien émotionnel. Dans ces cas, il peut être préférable de se séparer pour éviter le stress et les tensions.

Pressions familiales : Parfois, les membres de la famille peuvent exercer des pressions sur une personne pour qu’elle fasse des choses qu’elle ne veut pas faire ou pour qu’elle suive un certain chemin de vie. Cela peut être très stressant et peut empêcher la personne de suivre ses propres aspirations et ses propres rêves.

Toxicité familiale : Dans certaines familles, il peut y avoir une dynamique toxique qui cause du stress, de l’anxiété et de la douleur. Rompre avec la lignée familiale peut être une solution pour se protéger de cette toxicité et pour se donner la chance de trouver un environnement plus sain.

Bien que rompre avec la lignée familiale puisse sembler difficile, il est important de se rappeler que la famille n’est pas toujours la meilleure source de soutien et de sécurité pour tout le monde. Parfois, il est préférable de prendre une distance pour protéger sa propre santé mentale et physique.

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Publié par Julie Latour

J'aime la spiritualité mais je suis surtout spécialisée en numérologie depuis bientôt 10 ans. Tout comme le célèbre philosophe, mathématicien et astrologue Pythagore, je pense que toutes les choses peuvent être exprimées par un nombre.Ne sous-estimons pas le pouvoir des nombres, ils peuvent révéler des informations essentielles sur notre avenir .

42 Commentaires

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  1. Merci pour cet article.Je suis en effet sous ce contrôle. J’AI 58 ANS ET JE FAIS UN VÉRITABLE TRAVAIL SUR MOI POUR M’EN LIBÉRER, CE N’EST PAS CHOSE FACILE, IL FAUT BEAUCOUP DE COURAGE ,IL FAUT TENIR BON.J’Y SUIS PRESQUE, MERCI POUR CET ARTICLE

    • travail de nettoyage!lol!depuis mes 50ans!je decouvre que ns ne sommes pas responsable,ni nos parents,de ce que ns vivons!ce « negatif » que ns portons depuis ntr naissance,est responsable de la perception des situations:ns n avons pas le choix!ce choix existe si ns cherchons a enlever ce negatif qui ns trompe et depuis legereté et justesse sont de mises!

    • Moi aussi j’ai 59 ans et j’ai coupé les liens pour mon bien être. Car ces personnes de ma familles sont destructrices.

        • A 60 ans, je coupe, taille et me blesse. Cela fait mal, au fond de soi, au fond des autres.
          Couper sans reproduire le geste transgerenationnel, sans abimer nos enfants. Est ce possible?

      • Idem pour moi. Je vis en « marge » de la famille, surtout de mes sept frères et soeurs. J’ai pris le large, c’est salutaire; certains membres de la famille ne le comprennent pas, mais je m’en moque!

  2. « Tu honoreras ton père et ta mère », comme si le fait de se reproduire transformait les humains en êtres honorables.
    L’humain est le prédateur le plus dangereux de la planète. Et comme tout prédateur, il s’attaque aux plus fragiles. Il dispose également d’un Ego qui aime à être flatté, et quoi de mieux qu’un enfant totalement dépendant pour se sentir tout-puissant.
    Avoir des parents, ça peut parfois être un vrai cauchemar.

    Ce qui est dur, pour un jeune adulte qui prend conscience de la toxicité de ses parents, c’est qu’au début on ne le croit pas… Mais non, il exagère, ces bons citoyens tellement sympathiques ne peuvent pas être de mauvais parents, sans doute n’ont-ils pas été des parents parfaits, mais ce ne sont que des humains après tout.
    Et il reste seul avec sa souffrance.
    Puis un jour, quelqu’un l’entend, le croit… et alors il peut accueillir sa souffrance, la légitimer, l’accepter, enfin s’en libérer… rejeter le carcan émotionnel et spirituel dans lequel ses géniteurs l’emprisonnent depuis sa venue au monde.

    Une autre illusion aussi tombe en poussière. Cette injonction ambiguë selon laquelle il faut pardonner, car sans pardon on n’atteint pas la paix de l’esprit.
    Pour pardonner à quelqu’un qui nous a fait du mal, il faudrait d’abord que celui-ci ait conscience du mal qu’il a fait.
    Mais ces gens-là sont des inconscients et même si dans un coin de leur esprit, il y a une petite voix qui leur dit qu’ils ont fait fausse route, ils n’arrivent pas à l’accepter. Car prendre conscience de tout le mal qu’ils ont fait autour d’eux serait absolument insoutenable. Et ils s’enfoncent de plus en plus dans l’inconscience et l’illusion.
    Ce ne sont définitivement pas des gens fréquentables.
    Il existe sur cette planète, des êtres pleins de bonté, de chaleur, de tolérance… ceux-là méritent qu’on leur consacre du temps et de l’énergie.

    • J’aime ce que vous avez écrit Marie, tout a fait de votre avis, au fil des années j’ai appris et grandis avec mes souffrances et j’en apprend encore avec ma propre insécurité affective.

    • Bonjour Marie. Je n’aurais pas dit mieux. Ces personnes sont incapable de reconnaître leur tord. Donc le pardon ne sert à rien dans ces cas. J’ai préféré couper toutes relations voilà des années (avec ma maman). Christophe.

      • j’en ai fait de même Christophe, après des années de souffrance, une grosse dépression et une thérapie, j’ai rompu tous les liens avec ma famille, je ne peux pas pardonner car ma mère ne voit pas ce que je lui reproche, je ne lui en veut pas, c’est difficile à vivre, je me sens seule mais j’ai appris à m’aimer et je suis enfin libéré de toute cette souffrance.

    • Ce que vous dites est tout à fait exacte ! je m’efforce d’ailleurs de ne pas formater mes enfants avec mes idées profondes mais j’essaie de faire la différence entre : idées et conseils, car de nos jours les jeunes peuvent obtenir quasiment tout ce qu’ils veulent et leur apprendre les vrais valeurs de la vie, apprécier les choses simples, contempler le ciel, la terre… J’aime aussi ce que vous dites sur le pardon car je n’avais jamais réfléchit au fait que la personne qui fait du mal doit également prendre ses responsabilités et cela je n’y avait jamais pensé. ça me soulage de savoir que lorsque l’on souffre à cause de quelqu’un, on a le droit d’hêtre en colère, de décider d’arrêter de voir cette personne, de partir, de dire non… pardonner c’est aussi dire : je ne te juge pas, mais j’ai le droit de choisir ce que je veux dans ma vie ! MERCI 🙂

    • Tout est dit , vous exprimez bien tout ce que l’on peux ressentir d’avoir des parents mal aimants.
      J’ai eu du mal de me sortir de cette emprise qui m’a pourrit la vie ,j’ai 58ans et cela ne fait que quelques Années que j’y ai mis un stop et depuis je respire mieux je me sens libre .
      Bien que depuis le décès de mon père ,ma mère continue son jeux , là j’ai coupé les ponts et mes enfants aussi .
      Merci de votre témoignage

    • Bonjour Marie,
      Bien dit ! Synthèse parfaite d’insupportables liens qui n’en finissent plus de détruire au fil du temps… je retrouve dans ce que vous avez écrit la situation que j’ai vécu. Merci ☺

    • Bonsoir,
      Moi aussi j’ai déjà coupé avec mes soeurs et suis en train de m’éloigner et me détacher de ma mère, je fais également un travail sur moi, car toujours été le souffre douleur, le bouc émissaire et la « poubelle » de ma famille, donc, c’est finit je ne m’occupe plus que de moi et de mes enfants et je confirme me sentir nettement mieux et plus d’angoisses.

    • Honoré qui?! vivre sa vie pour sois même oui!!!

      Moi je dis pas faire comme les autres…..et faire sa vie dès qu’ont est majeur ont fait sa vie….

  3. Shri AuRobindo le dit dans ses enseignements, il m’a fallu du temps mais C fait.! Pour parvenir à être soi-même et non pas ce que la famille vous renvoie ou vous colle depuis longtemps. C’est un travail sur soi pas facile.

  4. souvent les liens avec nos famille ce comme des prison il sont remplir des interdiction sans motif valable mais etant des hommes nous devons faire la part des choses avoir le courage de se questionner sur certaines pour s’y liberer. merci pour l’article

  5. J’ai vécu bcp de souffrance avec maman depuis l’âge de 7 ans quand mon père était sur son lit de mort je voulais l’embrasser ma mère m’a battu … j’ai 53 ans j’aime ma mère mais hélas je l’ai mis de côté tellement à la continué à tout brisé autour de moi

    • Ce que Marie a écrit plus haut et si juste ; quant au sujet que vous évoquée, il y a :
      – le pardon qui est une forme de masochisme et
      – la miséricorde qui est une demande sincère que nul n’est sensé refuser. Sincère veut dire vraie ; pas celle d’un père à une amie da fac « pour avoir été désagréable avec elle en la grondant souvent » alors qu’en fait, pendant plusieurs années, il l’a violée !

  6. il faut savoir équilibrer parce que nos émotions prennent toujours le dessus, tu te vois dans l’obligation de te sacrifier pour garder ce lien qui pourra faire de toi par la suite un corps vide et si tu te rebelles tu risque gros.

  7. Je vous encourage a lire « Le pardon » de Bernard Chaumeil et vous verrez quel est sa véritable puissance
    Le pardon dans l’amour est essentiel pour soi-même et pour l’autre même si on rompt définitivement les liens. C’est très exigeant je sais.

  8. Bonjour Marie !
    J’ai 59 ans et j’ai dû couper les ponts avec ma famille.Ma mere nous battaient,nous criais après,nous tiraient par les cheveux.Un jour elle m’aimait gros Comme Le Bras Et le lendemain elle me haïssait.A 9 ans Quand elle était en colère apres Moi Elle me traitait de petite pute, des mots Que Je ne comprenait même pas.Elle était d’une méchanceté extrême envers ses enfants et sa famille aussi.J’en ai voulu longtemps à mon père de l’avoir laisser faire de ne pas nous avoir protégé de cette femme. Toute sa vie elle a parler contre mes enfants,elle était jalouse…j’ai fini par couper les liens avec Elle , ma soeur, Et mon frère qui ne comprenait pas.J’ai essayer d’élevé mes enfants dans l’amour Le respects, Je n’ai jamais penser un seul instant à sacré après mes enfants Ou Je n’ai jamais traiter ma fille de petite pute,Car Je n’en avait aucune raison.Je leurs ai donner tous ce que je pouvait , Le Plus d’amour possible Même Si Moi Même j’en était carencer.Mes enfants ont finalement couper les liens avec moi aussi.J’ai essayer de faire le contraire de ma mere Et Je n’ai pas p,us réussi.Une peine immense m’habite , Je me demande pourquoi.J’ai éloigner de ma famille la personne la plus toxique pour nous Car elle était méchante avec mes enfants Et Je ne voulait qu’ils vivent cé Que j’avais vécu et Je récolte la même chose ……La vie ne vaut Même Plus la peine d’être vécu ….Moi Et mon conjoint vivons une peine immense qui nous détruit de jour en jour…….à Quoi ça sert de continuer ?

  9. j’ai passé par là:UNE MERE et sept cousins pour choisir mon mari;pourquoi?par vanité,sans se préoccuper de mon bonheur qui etait ailleurs,j’ai rompu avec ces 7 cousins par lettre recommandée afin de les avertir, que je ne voulais pas les revoir de toute leur vie;MAIS j’ai souffert toute ma vie d’une MERE qui m’avait imposé cette situation;j’en ai été terriblement malheureuse toute ma vie de femme

  10. merci pr cet article. J’ai 60 ans et depuis 2 ans j’ai décidé de ne plus aller chez ma mère, 88ans ! C une manipulatrice perverse narcissique. J’ai identifié cette pathologie il y a qques années et j’en ai souffert tout comme mon frère et ma soeur, qui eux, ont décidé de rompre depuis très longtemps. Je fus la seule à m’occuper d’elle qd malade,etc…elle ne comprend pas évidemment. Mais depuis ce temps je vais mieux ENFIN! j’ai mis tout ce temps à essayer de la comprendre et de raisonner en vain. Contre ces pathologies là ns sommes tjrs perdants ! …C pkoi j’ai pris cette décision. Elle appelle parfois et je coupe la conversation par mensonge car sinon elle monologue pendant plus d’une heure et radote les mêmes thèmes eternam ! C lassant, pénible et pas intéressant. JE ne suis donc plus aller chez elle depuis sept. 2015! Quel bien je respire. Et je n’irai plus, je lui ai dit que si pb il y avait les services sociaux et la Mairie etc….C comme çà devant de tels personnages malades et impitoyable. Et forcément, qd on lui dit qu’elle devrait aller parler devant un psy(mur) on se fait traiter ! mais C fini tout çà. Elle partira avec sa grave névrose qu’elle n’a jamais voulu affronter.

  11. Moi aussi j’ai une mère manipulatrice. A cause d’elle j’ai fait une tentative de suicider à l’age de 14ans. Je suis heureuse de lire ces commentaires. Je me rend compte que je n’avais pas tort. Elle entraine la discorde et le discrédit et elle est très forte pour jouer la victime devant tout le monde. Quand un problème t’arrive là elle dit tout de suite que c’est une punition divine.

  12. j’ai moi aussi rompu avec ma famille, ma mère et le reste de la famille, ma mère veuve jeune, a reportée sur ma fille l’amour qu’elle avait pour mon père sur mes enfants et en critiquant mon compagnon insidieusement, je m’en suis rendu compte au fils des années et surtout au moment de la mort de ma soeur avec j’avais des rapports très conflictuels suie a des gros problèmes qu’elle m’a créé mais vraiment énorme,conclusion pour aller vite mes enfants ne me parlent plus,je suis malade depuis des années et en plus handicapée(malade au moment du décès de ma sur aussi) et a ce moment la j’ai eu un déclic et j’ai rompu avec elle, mais pour mes enfants le mal était et a cause d’elle ils ne me parlent plus

  13. Vous savez, je comprends et entends fort bien tout vos témoignages…..seulement, voyez vous, rien n est aussi simple….. l on parle de parents toxiques….le mot est dur!!!! Mais, si l on applique les choses à la lettre….tout peut être toxique….les enfants aussi !!!! Vous est il arrivé de réfléchir…pouquoi ds une fratrie tous les enfants n ont ils pas la même vision sur l éducation reçue? La vérité n existe pas !!!! Chaque personne a sa version de la vérité….à ses propres ressentis….à partir de là, comment peut on appliquer de tels jugements? Hormis, bien sûr de cas graves et avérés….non non, je n ai pas dit, que le reste n est pas grave….je dis, que chaque personne a son propre mode d évaluation….et cela se respecte! Alors, si le ressenti est de couper les liens, partir, soit…..mais, pouvez vous imaginer, le ressenti, parfois, de la personne en face….qui a fait du mieux qu elle a pu….sans combler ou répondre à vos attentes….qui s est peut être aussi poser des questions….restées sans réponse….pourquoi reagit il ouvelle comme cela ,? Qu ai je donc fait? Elle peut être tout à fait de bonne foix….alors….attention, aux pouvoirs des mots employés….. EH OUI…..IL N Y A PAS DE MEILLEUR MOYEN QUE LE PARDON ! Si un jour, vous parvenez à pardonner aux autres er à vous…..vous n aurez plus besoin de thérapie quelconque…..pardonnez ne veut pas dire accepter…mais, le passé est ce qu il est, rien ni personne ne le changera, mais votre présent et avenir vous appartiennent…à vous de passer au delà….. à vous de créer votre devenir…..le sujet est vaste….mais, gardez vous de juger….sous peine, peut être d être aussi jugés un jour…. ne soyez pas dans l apitoiement….levez vous, regardez vous….et oui, tout n a pas été rose…certains ont eu des vies horribles…à la suite de cela certains st morts, ou en prison…..et d autres se sont servies de leur vécu comme tremplin ds la vie….et se sont vraiment trouvés…. qd au témoignage de cette personne estimant ne plus avoir envie de vivre parceque sa fille ne veut plus la voir…. vous meritez de vivre, vous devez accepter la situation, votre fille a peut être simplement envie de respirer…..laissez là….aimez là….soutenez là par le coeur et la pensée…un jour viendra….où vs vs retrouverez…entre temps, vous aurez appris, vous aussi à grandir….aimer…accepter…sans vous juger …. montrez à votre fille combien vous etes une belle personne en acceptant son choix sans ordre de jugement….souvenez vous….chacun a sa propre vérité….cessez de pleurer….

  14. J’adore ces textes parce qu’ils me ramènent face à moi-même et à la grandeur de l’âme qui m’habite. Ils engendrent en moi des réflexions, surtout les dimanches matin! 😉 J’aime aussi laisser cette âme exprimer ce qu’elle ressent. Avec elle, je pense d’une autre manière. J’adhère moins au côté rejet de l’autre et d’exclusion sous-entendue que j’ai ressenti dans les propos. Je sens de la frustration et de la rigidité envers soi-même dans ce texte. Pour moi, les autres sont ce qu’ils sont et ça fini là, famille ou pas. Ce qu’ils sont, ce n’est pas qu’une boule de merde et de commandement. Il y a des particularités en tout le monde qui peuvent nous séduire et nous animer. À nous de les CHERCHER, de les trouver et de ne pas nous laisser aveugler par ce qui nous percute et est contre notre nature. Rompre, c’est manquer de courage, manquer de maturité. Rompre avec sa famille, c’est aussi rompre avec les autres plus tard, car cela indique une recherche constante de la personne la moins pire que je vais pouvoir trouver pour m’entourer. Combiner à une grande force d’acceptation des autres en dehors de nos paramètres, nous gagnerions à bien identifier les émotions et les sentiments chez nous et chez les autres, apprivoiser leur et notre manière de les exprimer, à connaitre et à imposer nos limites. Ainsi, ce sentiment de commandement et de modèle à suivre qui ne nous appartient pas disparaîtrait. En lisant ces derniers propos, on a l’impression qu’on n’arrivera jamais. La barre est trop haute. Vaut mieux abandonner et se tirer une balle tout de suite. Pour la balle, ce n’est pas nécessaire. Pour le fait de ne jamais y arriver, c’est vrai, réel et c’est ce qui se produira. Alors, il vaut mieux voir la réalité en face, accepter cela et travailler sur soi pour s’améliorer et se développer. La personne qui a rédigé ce texte ne va pas bien. C’est une personne qui parle ici avec ses blessures et je les sens très profondes. Elle n’arrive simplement pas à s’en sortir. Alors mieux vaut fuir et s’exclure se dit-elle. Est-ce bien ou mal? Je crois que ce n’est ni bien ni mal, c’est juste pas le meilleur choix à mes yeux, car la rigueur et l’exclusion est aussi un sentiment difficile à supporter. Alors ne vaut-il pas mieux s’investir avec cœur et passion avec les membres de nos familles ou les autres, partager ensemble là où nous nous rejoignons ou pas? Je crois qu’il y a des moments ou quelqu’un peut dépasser les limites de ce qu’il me semble inacceptable, mais je sais aussi que cela est une mauvaise expression des émotions. Il s’agit souvent d’une grande douleur que l’on cherche à exprimer. Ce n’est pas donné à tous de ne pas créer de tollé chez les autres.

  15. Bonjour à tout le monde, cet article ainsi que les commentaires postés en bas de page sont pertinents. Pour ma part, je vis la même situation que beaucoup d’entre vous ici, les parents ont eu une emprise sur moi qu’aujourd’hui je rejette parce qu’ayant analysé ce qui se passe dans cette vie, j’ai fini par réaliser que ce que mes parents m’ont inculqué était très facile à remettre en question. D’une manière générale, nous avons remarqué les incohérences et contradictions excessives de cette vie, la première est de nous faire croire que nous sommes des prédateurs ce qui justifierait l’esprit de conquête, possession qui nous anime. C’est impossible pour la simple raison que le corps dans lequel nous « habitons » ne nous appartient pas donc rien à l’extérieur ne nous appartient, nous courrons donc dans le vide et nous entre-tuons(pas seulement avec les armes mais aussi avec les idées reçues) pour l’illusoire. J’explique cela pourquoi, tout simplement pour vous faire comprendre(il est fort probable que vous l’ayez déjà compris) que ce système dans lequel tout est fait pour que l’on se querelle, que l’on se marche dessus, que l’on se mange, explique ce qui peut également se produire dans une famille, conflits, désaccords, rupture des liens et j’en passe, ce n’est donc de la faute de personne. Pour mon cas personnel, j’ai réalisé à quel point les parents étaient possessifs, même ma mère et les possessifs ont ce coté manipulateur qui ressort un peu plus que chez les autres de manière directe comme subtile, ils veulent très souvent te tirer dans le sens qu’ils le veulent et sans le savoir ils te matérialisent, c’est un fait indéniable. A la base, et c’est le cas pour mes parents, ils n’ont pas réussi à penser leurs blessures internes devenues de plus en plus profondes avec le temps et ont pensé que l’on pouvait le faire à leur place, le problème est qu’ils en voulaient toujours plus et cela au détriment de « ma » santé. Je comprends aisément que leur tête est remplie d’idées reçues qui ne tiennent pas la route et qu’il est très facile de contester dont la fameuse autorité d’un parent sur un enfant, je comprends également que le système y est pour beaucoup mais ce n’est pas non plus une excuse pour continuer de cautionner comme je l’ai fait pendant si longtemps ce qui ne peut l’être. Effectivement comme un intervenant l’a expliqué nous pouvons avoir des manières différentes de voir les choses, à partir du moment ou la discussion est ouverte, pas de problème, par contre s’il s’agit d’imposer sa manière de voir les choses sous prétexte qu’être parent te « donnerait des droits » désolé mais c’est non!! « Ma »manière de voir les choses est qu’une relation qu’elle soit fraternelle ou amicale s’entretient au moins à deux, ce n’est pas du fait que tu sois parent que si je ne t’obéis pas comme tu le veux, je risque de me rendre la vie difficile, cette menace ne marche plus parce qu’en cas de rupture la souffrance sera partagée, elle est souvent plus manifeste du côté du possessif. Il ne faut pas juger c’est vrai comme geneviève la dit mais cela n’empêche pas de relater les faits et rien que les faits, si autant de personnes parlent de la même chose dans leurs écrits ce n’est pas un hasard. Rompre, c’est manquer de courage, manquer de maturité? Je ne suis vraiment plus d’accord avec cela, je dirai même que par moment c’est qu’il faut faire avant que la personne qui se croit supérieur à toi, qui ne veut rien comprendre de ce que tu dis ne finisse par te détruire intérieurement, c’est rigide, c’est dur mais parfois oui c’est ce qu’il faut si la situation le demande. Cela peut permettre à chacun de réfléchir et peut-être dans un futur proche ou lointain de se retrouver dans des conditions de réconciliation et de pardon. Après c’est vrai, certaines personnes ont cette capacité de s’adapter à une situation pareille sans que cela les affecte mais ce n’est pas mon cas, à un moment il faut être lucide et agir avec pragmatisme. Pour finir, je pense que l’amour est bon et mauvais à la fois, le problème est que l’on veut nous montrer, et même nous vendre son coté beau tel un produit dans le but que l’on se l’approprie or il a un coté toxique indéniable et ce n’est pas mauvais de le dire, cela ne nous a pas rendu service que de nous le cacher, on aurait pu comprendre comment s’adapter à ce sentiment sans nous laisser absorber, une sorte d’harmonie quoi, l’amour ne s’achète pas, ne s’impose pas tout simplement. Si on nous avait expliqué qu’il n’y a pas de bon à 100% ou mauvais à 100%, cela aurait peut-être changé beaucoup de choses.

  16. Bonjour à tout le monde, cet article ainsi que les commentaires postés en bas de page sont pertinents. Pour ma part, je vis la même situation que beaucoup d’entre vous ici, les parents ont eu une emprise sur moi qu’aujourd’hui je rejette parce qu’ayant analysé ce qui se passe dans cette vie, j’ai fini par réaliser que ce que mes parents m’ont inculqué était très facile à remettre en question. D’une manière générale, nous avons remarqué les incohérences et contradictions excessives de cette vie, la première est de nous faire croire que nous sommes des prédateurs ce qui justifierait l’esprit de conquête, possession qui nous anime. C’est impossible pour la simple raison que le corps dans lequel nous « habitons » ne nous appartient pas donc rien à l’extérieur ne nous appartient, nous courrons donc dans le vide et nous entre-tuons(pas seulement avec les armes mais aussi avec les idées reçues) pour l’illusoire. J’explique cela pourquoi, tout simplement pour vous faire comprendre(il est fort probable que vous l’ayez déjà compris) que ce système dans lequel tout est fait pour que l’on se querelle, que l’on se marche dessus, que l’on se mange, explique ce qui peut également se produire dans une famille, conflits, désaccords, rupture des liens et j’en passe, ce n’est donc de la faute de personne. Pour mon cas personnel, j’ai réalisé à quel point les parents étaient possessifs, même ma mère et les possessifs ont ce coté manipulateur qui ressort un peu plus que chez les autres de manière directe comme subtile, ils veulent très souvent te tirer dans le sens qu’ils veulent et sans le savoir ils te matérialisent, c’est un fait indéniable. A la base, et c’est le cas pour mes parents, ils n’ont pas réussi à panser leurs blessures internes devenues de plus en plus profondes avec le temps et ont pensé que l’on pouvait le faire à leur place, le problème est qu’ils en voulaient toujours plus et cela au détriment de « ma » santé. Je comprends aisément que leur tête est remplie d’idées reçues qui ne tiennent pas la route et qu’il est très facile de contester dont la fameuse autorité d’un parent sur un enfant, je comprends également que le système y est pour beaucoup mais ce n’est pas non plus une excuse pour continuer de cautionner comme je l’ai fait pendant si longtemps ce qui ne peut l’être. Effectivement comme un intervenant l’a expliqué nous pouvons avoir des manières différentes de voir les choses, à partir du moment ou la discussion est ouverte, pas de problème, par contre s’il s’agit d’imposer sa manière de voir les choses sous prétexte qu’être parent te « donnerait des droits » désolé mais c’est non!! « Ma »manière de voir les choses est qu’une relation qu’elle soit fraternelle ou amicale s’entretient au moins à deux, ce n’est pas du fait que tu sois parent que si je ne t’obéis pas comme tu le veux, je risque de me rendre la vie difficile, cette menace ne marche plus parce qu’en cas de rupture la souffrance sera partagée, elle est souvent plus manifeste du côté du possessif. Il ne faut pas juger c’est vrai comme geneviève la dit mais cela n’empêche pas de relater les faits et rien que les faits, si autant de personnes parlent de la même chose dans leurs écrits ce n’est pas un hasard. Rompre, c’est manquer de courage, manquer de maturité? Je ne suis vraiment plus d’accord avec cela, je dirai même que par moment c’est qu’il faut faire avant que la personne qui se croit supérieur à toi, qui ne veut rien comprendre de ce que tu dis ne finisse par te détruire intérieurement, c’est rigide, c’est dur mais parfois oui c’est ce qu’il faut si la situation le demande. Cela peut permettre à chacun de réfléchir et peut-être dans un futur proche ou lointain de se retrouver dans des conditions de réconciliation et de pardon. Après c’est vrai, certaines personnes ont cette capacité de s’adapter à une situation pareille sans que cela les affecte mais ce n’est pas mon cas, à un moment il faut être lucide et agir avec pragmatisme. Pour finir, je pense que l’amour est bon et mauvais à la fois, le problème est que l’on veut nous montrer, et même nous vendre son coté beau tel un produit dans le but que l’on se l’approprie or il a un coté toxique indéniable et ce n’est pas mauvais de le dire, cela ne nous a pas rendu service que de nous le cacher, on aurait pu comprendre comment s’adapter à ce sentiment sans nous laisser absorber, une sorte d’harmonie quoi, l’amour ne s’achète pas, ne s’impose pas tout simplement. Si on nous avait expliqué qu’il n’y a pas de bon ou mauvais, cela aurait peut-être changé beaucoup de choses.

  17. merci pour tous vos témoignages qui me font penser que nous avançons pour beaucoup avec de droles de souffrances, est ce l’époque, en savons nous trop, psychiatres, psychologues, bref dans toutes les familles je vois qu’il y a de plus en plus de problèmes, des parents parfaits y en à pas, des enfants parfaits yen a pas, mais de la à se couper complètement de des parents ou enfants, oui ils y a des choses très graves, j’ 60 ans, eu un caractère fort, rigide, mon père rentré à moitié fou de la guerre d’algerie ma bien arrangé, du coup mon caractère, de la violence mais toujours pour défendre les faibles, je donnais tout ce que j’avais, en famille j’ai tout fais pour rabibocher car il ya un bon vécu là aussi, pas rancunière du tout, à 18 ans je me marie, je l’aime bien, j’ai envie d’une famille au calme, 20 ans j’ai une petite fille, je me fais un peu peur j’ai de la violence et en meme temps un immense amour, heureusement j’ai ma mère souvent et une nounou, mais je joue beaucoup avec elle, lui parle, 25 ans je divorce, j’aime un autre homme, mon mari me traite mal, il manipule la petite, je reviens chez mes parents ou je reprends mes études, c’est là que les problèmes vont commencer avec ma mère, pour eux j’ai 3 ans mais j’ai appris à recevoir mais je vais partir quand meme, j’éléve ma fille seule elle voit son père à toutes les vacances, je lui donne une éducation, elle a une belle vie, tout les activitées sportives, les mi vacances les copains, les voyages, le désert, très gatée par mes parents aussi, 17 ans elle choisi de vivre chez son père, la libertée!!! quelques mois plus tard il laisse emmenager avec un garçons, 6mois plus tard je quitte mon pays, mes amis, de la famille, une vie. 2 mois plus tard, ils sont arretés en garde à vue, son copain, trafic stup, elle ne fume meme pas, la terre s’ouvre sous mes pieds, je la recuère nous ne lui faisons avec mon ex mari pas de reproche proposons un spy elle refuse, alors je vais aller un plus plus vite, études supérieures, voyages, jeunesse priviligiéee, moi je bosse sec, nous sommes proches, les petits amis changent c’est une jolie fille plein de vie, la fete, un jour elle part voir des amis aux antilles elle utilisera pas le billet de retour, bon job gagne bien sa vie, elle rencontre un garçon dont les parents simples et très travailleurs ont beaucoup d’argent, le jour ou ils nous apprennent qu’elle est enceinte elle à 37 ans et la pour moi commence vraiment l’horreur, elle lui appartient il devient méchant avec moi la monte, j’ai une maladie depuis 12 ans, je fais du cinéma, elle accouche dans le pays ou elle est née, il refuse de connaître nos amis, notre famille, scandales, elle nous emmène la petite car il est parti chez des amis de ma fille, elle rentre et me dit je vais quitter l’ile avec la petite, moi encore humaine je lui dit ça va aller mieux, les 3 premières années je vais voir profiter de ma petite merveille, je m’aperçois qu’il boit et je sais qu’il fume de l’herbe, il prends des colères terribles, avec sa mère qui habite en face il lui refuse la petite alors comme il habitent un de ses logements elle leur coupe l’eau electricitée, maintenant elle a la petite souvent le soir ce qui repose ma fille qui la récupère pour dormir, après en avoir parlé avec l’équipe qui me soigne, 2 TS, il serait pervers narcissique, il la coupé de tous ses amis, ils reçoivent personnent chez eux, il lui a fait arreter son travail, elle n’a plus de salaire, elle est épuisée elle qui était super active, donc je lui en ais gentillement parlé délicatement, pour ses 40 ans je lui écris une longue et très gentille lettre, elle me réponds des horreurs, qu’elle a eu une enfance horrible que son père et moi avons été des égoistes, qu’ont à fait nos choix, qu’elle a plus envie de s’emmerder pour nous, son père hépathite, cancer du foi, depuis 20 ans et moi depuis 17 ans elle connais meme pas mon petit hlm, elle est allée chez son père villa avec piscine, et est faché avec son frère et sa sœur d’une autre union de son père, moi je dis ce n’est pas ma fille qui me parle là, un lavage de cerveau, lui parle très mal à mon ex mari à ma maman 80 ans, moi il a commençais mais je lui réponds calmement avec moquerie, j’ai peur pour ma fille, la petite car elle assiste à des scènes, elle avait 1 et demi, terrorisée moi en crise de nerfs, mami, peur pas, mami peur pas, ma fille s’etait jetée dans la porte de la salle de bain et avait cassé la vitre, j’ai la petite au téléphone de la voiture peux plus l’avoir sur Skype, leur couple c’est leur affaires mais me priver de voir ma petite fille, j’ai meme pas le droit d’aller sur l’ile j’ai jamais habité chez eux, ils sont a 8000km

  18. rompre avec la lignée familiale,suffit elle?je ne pense pas!l heridité de notre construction(adn),nous conduit ,nous dirige! dune façon ou d une autre par rapport à la perception ,de notre »corps » à cet « adn » de base,qui varie pour chaque individu,meme si idem heritage,chacun ayant des reactions adaptées a son emotionnel des la conception!

  19. Honoré qui?! vivre sa vie pour sois même oui!!!

    Moi je dis pas faire comme les autres…..et faire sa vie dès qu’ont est majeur ont fait sa vie….

  20. A la suite de la perte de nos parents, notre mère il y a sept ans et notre père il y a deux ans. Le souhait de nos parents était que nous nous entendions biens. Nous sommes cinq frères et soeurs et une sœur et deux frères du remariage de notre père. Au total nous sommes huit. Donc a la suite du départ de nos parents la fracture a commencé. Une mythomane et pervers narcissique et un frère totalement imbus de sa personne avec un problème de bipolarité. Trop de toxicité de leur part. Il exerce sur le reste de la famille une manipulation malsaine. L’attitude qu’ils ont en vers le reste des frères et sœurs, est violente (verbalement) , fabrique de toute pièce une situation où des dires pour mettre l’un ou l’autre en porte à faux avec le reste des membres. Ils ont chacun leur côté une attitude destructrice pour toute les frères et sœurs. C’est pourquoi j’ai décidé de couper les ponts avec ce frère et cette sœur. Depuis ma vie a retrouvé une normalité. Plus de situations anxiogènes, plus de combats familiaux et une paix retrouvée.
    Merci pour ce document (rompre avec sa famille) cela m’a permis de déculpabiliser.
    Merci

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